Aujourd’hui le gazon s’impose dans les projets
d’aménagement durable. Source de bien-être et véritable écosystème, le gazon contribue à l’embellissement et à la valorisation de tous les espaces -verts, naturels, publics...- en préservant l’environnement et joue un rôle social et environnemental en ville.
Le gazon filtre l’eau et réduit de 80% la quantité de sédiments en suspension. Le gazon permettrait de réduire 10 fois plus l’acidité de l’eau comparé aux eaux de ruissellement sur surfaces minérales.
Le gazon est le poumon des villes ! Les mélanges de gazon les plus performants stockent jusqu’à 20 tonnes de CO2 par hectare et par an !
Une pelouse de 230 m² produit l’équivalent des besoins annuels en O2 d’une famille de 4 personnes tout en captant le CO2 émis par 30 voitures !
Un entretien extensif des pelouses est d’autant plus favorable à la biodiversité : la réduction du rythme de tontes augmente jusqu’à 30% la diversité floristique et jusqu’à 20 fois le nombre moyen de populations d’insectes.
Le gazon assainit l’air. Sa surface irrégulière piège les particules en suspension dans l’air (poussières, pollens...). Les gazons captent 3 à 6 fois plus de poussières que les sols nus.
Le gazon rafraîchit et humidifie l’atmosphère, c’est une climatisation naturelle : 10°C moins chaud que l’asphalte !
L’atténuation du bruit ambiant par le gazon atteint jusqu’à 5 dB, pour un plus grand confort des riverains.
L’augmentation de la quantité moyenne d’espaces verts dans le voisinage réduit de 25% le risque de surpoids et apporte 1,6 fois plus de chance
d’avoir une meilleure santé mentale.